Bucureştii şi studenţii transilvăneni în străinătate

  • Subiect: Bucarest et les étudiants transylvains à l’étranger Un groupe d’étudiants transylvains, qui étudient à Bucarest, ont décide le 3/15 mai 1867 de militer pour la fondation d’une société avec le rôle d’amasser des fonds pécuniaires, dont le revenu servirait à accorder des bourses aux étudiants transylvains pour l’Occident. La société est fondée le 23 juin d’après le calendrier julien, un comité étant choisi avec l’historien et juriste A. Papiu Ilarian en tête, et après une semaine on approuve les statuts de la société, qu’on nomme „Transilvania”. Apres décembre 1867, quand elle e officiellement reconnue par décret princier, la société augmentera sensiblement le nombre de ses membres, ceux-ci arrivant en 1868 a 1247, dont la plupart de Bucarest. Une importante contribution en argent est obtenue aussi de la part de plusieurs conseils départementaux et municipaux. En mai 1868, la société avait réalisé un capital de 40.000 lei en or, amasses des cotisations des différentes couches sociales de Bucarest et du pays (intellectuels, civils et militaires, artisans, etc.) et des subventions de quelques institutions publiques. L’intérêt annuel de ce capital pouvait assurer au commencement l’entretien de trois boursiers en des pays de culture et d’origine latine. Au concours de l’automne 1968 se sont présente 34 candidats ont réussi: Joachim C. Drăgescou, Ioan A. Lapedatu et Ioan Bozocea, le premier devant étudier la médicine à Turin (en Italie), le second les belles-lettres et de dernier les sciences techniques à Paris, pendant trois ans. En 1870, le capital remontant à 90.000 lei en or, „Transilvania” a décide qu’à l’automne de 1871 le nombre des boursiers soit élevé a cinq, dont l’un d’eux (Artemie Anderco Homorodeanu) devait étudie la médicine à Turin, et les autres quatre la profession d’ingénieur et les mine à Gand et Liège en Belgique. Les premières trois boursiers ont fini leur études universitaires en 1871. Ils ont eu une riche correspondance avec A. Papiu Ilarian, dont il résulte tant un puissant sentiment patriotique pour la Transylvanie opprimée, que d’intéressantes descriptions concernant les pays où ils étudiaient et la manière dont ils remplissaient leurs obligations de passer les examens, etc. Deux lettres dont des plus significatives sont attachées à la communication.
  • Limba de redactare: română
  • Secţiunea: Sesiunea de comunicări ştiinţifice. Secţia I: Istorie veche şi feudală
  • Vezi publicația: Bucureşti - Materiale de Istorie şi Muzeografie: Bucureşti-MIM
  • Editura: Muzeul de Istorie a oraşului Bucureşti
  • Loc publicare: Bucureşti
  • Anul publicaţiei: 1972
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: IX; anul 1972
  • Paginaţia: 187-197
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