Diplomaţie, hidrotehnică şi afaceri în secolul al XVIII-iea. Canalul Cerna - Dunăre

  • Subiect: Les conditions de la Paix de Belgrade (1739) ont été humiliantes pour les Autrichiens, qui n'ont pas seulement perdu Bosnie, Serbie et une partie de l'Olténie, mais ils ont été obligés à consentir à la cession de Orşova Veche, les Turcs en ayant besoin pour la construction d'un canal de déviation de la rivière Cerna, qui rejoindrait le Danube à l'ouest de Orşova. Cette obligation et le terme d'exécution on été prévus dans l'article V du traité. L'exécution du travail hydrotechnique, dont les ruines sont visibles près de la „Roche de Iovan Iorgovan” (près de la commune Topleţ - Fig. 3) et dans la Vallée de „Seracoviei” (Fig. 2) a eu lieu dans des conditions exterminent difficiles, avec des pertes de vies humaines. Le canal a été une réussite partielle et la durée de construction stipulée dans le traité a été dépassée. Pourtant, les Autrichiens n'ont pas pu invoquer le retardement pour obtenir le changement des bornes longeant le canal, en partie par suite des difficultés internes constitutionnelles, causées par l'arrivée au trône de Maria Terezia. Mustafa Reis Efendi, l'administrateur turc de la région de frontière, a été très content, car s'il n'a pu intégralement dévier la rivière Cerna dans le canal, a réussi de diriger une bonne partie des fonds prévus dans ses propres poches. Les frontières du Banat longeant l'ancien cours de la Cerna ont été rétablies du point du vue diplomatique par la Convention autrichienne - turque du 13 aout 1791.
  • Limba de redactare: română, franceză
  • Secţiunea: Arheologie - Istorie
  • Vezi publicația: Tibiscum
  • Editura: Muzeul Judeţean de Etnografie şi Istorie Locală Caransebeş
  • Loc publicare: Caransebeş
  • Anul publicaţiei: 1979
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: III; anul 1979; subtitlu: Studii şi Comunicări de Etnografie-Istorie; seria Etnografie-Istorie
  • Paginaţia: 333-341
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