Pictura lui Henrik Trenk în muzeele din Transilvania

  • Subiect: Les tableaux par Henrik Trenk dans les musées de Transylvanie Parmi les peintres étrangers qui se sont arrêtés dans la première moitié du XIXe siècle dans notre pays, attires soit par les avantages matériels, soit par le pittoresque du paysage roumain, fait partie aussi H. Trenk qui s'est établi pour toujours chez nous. H. Trenk est né à Zug (Suisse) en 1818. II fait ses études à L'école de Beaux-Arts de Düsseldorf (Allemagne). Entre 1845-1856 il travaille a Sibiu puis s'établit à Bucarest ou ii reste jusqu'à la fin de sa vie. En sa qualité de dessinateur il accompagne la commission d'archéologues conduite par Alex. Odobescu dans la Valles de l'Olt, réalisant entre 1860-1861 un cycle de travaux ou il envisage des monastères, ruines, détails décoratifs d'intérieur des fragments de fresques, etc., en évoquant des moments historiques et créations artistiques d'une grande importance. Les thèmes de ses peintures gardes dans les musées de Transylvanie sont le portrait et le paysage. Son art de portraitiste évolue lentement et avec de petites différences d’un période à l'autre comme on le peut constater dans le parallélisme de ses premières années a Sibiu: Karl Sigerus (1848), Karl Schelker et Julius Sigerus- enfant et les portraits réalises plus tard: Portrait de femme et Portrait d'homme du musées de Braşov. L'attention du peintre s'est dirigée évidemment sur les physionomies dont il modèle leurs traits avec fidélité et certaines velléités expressives. Dans le premier période les formes sont plus aplaties et le coloris plus restreint. Dans la deuxième période il essaie de mettre en relief le contraste des ombres et lumières et enrichit le coloris qui devient plus varie et plus lumineux. Généralement les portrait de Trenk n'abondent pas dans des accessoires vestimentaires mais ni ne renonce définitivement a ceux-ci. Les traits psychologiques sont sommairement évidences quoiqu'il manifeste intérêt pour les essais d'expression. On rencontre plus de spontanéité et de vigueur dans les paysages surtout dans ceux réalisés après 1860 par exemple: Le Monastère Cozia, L'Olt a Cârlige, Paysage (Bohémiens nomades). Une partie de ses paysages s'approchent aux thèmes des peintres romantiques suggèrent une vague atmosphère de mystère sans avoir la vision de ceux-ci. (Paysage avec ruines et chasseur, et Paysage avec ruines et eau). On remarque généralement dans ses paysages d'effort de refléter la réalité géographique ce qui leur imprime un caractère descriptif et une valeur documentaire parfois en détriment de sa valeur artistique et compositionnelle. Par dessin et coloris, l'œuvre de Trenk a des contingences certes avec la peinture académique, qu'il essaie quelquefois de la dépasser, évidemment avec une réelle timidité. Trenk a eu le mérite de contribuer à la fixation d'un genre paysagiste dans la peinture roumaine et d'éveiller la curiosité de ses contemporains pour la beauté de paysage qui est devenu le paysage de sa patrie.
  • Limba de redactare: română; rezumat franceză
  • Secţiunea: Istoria artelor
  • Vezi publicația: Acta Musei Porolissensis: ActaMP
  • Editura: I. P. Cluj
  • Loc publicare: Cluj-Napoca
  • Anul publicaţiei: 1978
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: II; anul 1978; subtitlu: Acta Mvsei Porolissensis
  • Paginaţia: 435-441
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