Constantin Brâncoveanu, însemne ale timpului

  • Subiect: Constantin Brâncoveanu, signes distinctifs du temps Les historiens littéraires N. Cartojan, Ivaşcu relèvent dans leurs oeuvres, la personnalité marquante du prince, Constantin Brancoveanu. A travers les chroniques, ils reconstituent minutieusement, la mémoire d’un temps historique et culturel. La première des chroniques de Brancoveanu, a été rédigée par le chronicaire Radu Greceanu. Esprit formé dans le milieu culturel avancé et cosmopolite de Constantinople, Radu Popescu surprend par son écriture. L’historiographie valaque transcende la chronique pure et simple, pour se ralier à l`histoire en tant que science. Radu Popescu s’affirme comme un historien original, qui nous propose une perspective historique unique depuis là dans le paysage de l’histoire roumaine. La chronique anonyme de Brancoveanu que celle de Radu Greceanu visent une même période historique–l’époque de Brancoveanu-projetée cependant, de manière différente. La projection différente de la même période historique s’explique tout d`abord par la position et le statut différents de chaque chronicaire. Radu Greceanu est le type de chronicaire érudit, qui se trouve au servce du prince et qui rédige une chronique elogieuse a l’adresse du prince. Le chronicaire anonyme devoile une histoire indépendente. Admirateur du prince, il écrit pour la posterité. Radu Greceanu écrit pour le présent, l’anonyme pour le futur. Radu Greceanu vise à promouvoir l’image du prince, l’anonyme cherche à récuperer le passé récent, qu’il amène le plus possible dans le présent, d`où le caractère dramatisé de son écriture. Radu Greceanu est un poète de cour, l`anonyme pourrait se définir comme un observateur lucide, objectif et fin de son époque. Le chronicaire de cour s`inscrit dans la tradition rhétorique, l’anonyme, qui quitte la tradition, anticipe le réalisme littéraire, par le dramatisme moderne de son écriture ainsi que par l’oralité de son style. Radu Greceanu se propose d’effacer toutes les traces de son identité, pour projeter à des dimensions gigantesques le portrait du prince. Les historiens, les chritiques d’art ont relevé l’éclat spirituel d’une époque éfervescente du point de vue culturel. Les formes traditionnlees tant dans le domaine de l’arhitecture, que dans la peinture, étaient remodelées dans le creuset d’une nouvelle vision. C’est le mérite d’une époque d’avoir posé les fondement du nouveau style brancovan. Constantin Brancoveanu a accordé tout son appui aux arts et aux lettres. Les monastères et les églises, dont l’architecture s’insère totalemnet dans le style brancovan, représentent les symboles de la foi orthodoxe. La valeur particulière du monastère Hurezi a été relevée, entre autres, par le byzantinologue Charles Diel : La puissante tradition byzantine est dominée au monastère Hurezi, peut-être, le plus beau monument de la Roumanie. Ces fresques sont parmi les plus remarquables produites par l’art roumain et, dans le même temps, elles prouvent la continuité de l’art roumain et de l’art byzantin, elles montrent l’extraordinaire splendeur donnée aux arts par le pouvoir de Constantin Bracovan. Un chef-d’oeuvre de l’art architectonique est le Palais de Mogoşoaia, qui héberge le Musée d’art renommé par ses pièces d’argenterie, sculptures, tapisseries et broderies en or et argent, documents et livres rares.
  • Limba de redactare: română, franceză
  • Secţiunea: 300 de ani de la martiriul Brâncovenilor
  • Vezi publicația: Acta Terrae Fogarasiensis: ActaTF
  • Editura: ALTIP
  • Anul publicaţiei: 2014
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: 3; anul 2014
  • Paginaţia: 37-56
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