Reflecţiile unui ciob de oglindă

  • Subiect: La fidélité des lettres n'est pas, ne peut pas être un faux "problème", et quand on dit problème, on ne pensé pas à l'effort de trouver une solution probable, mais au fait de la vie - sentiment sincère ou hypocrite - derrière lesquel se trouvent des personnes. La lettre a sa propre rhétorique inconfondable, comme les empreintes digitales. La pensée formulée, la séquence relatée, l'humeur avouée, les choses mauvaises et moins mauvaises qui noircissent la feuille, la hate ou la patience, une fois mises sur le papier et envoyées au destinataire, restent pures et intactes pour un temps qui peut signifier éternité et éphémèrité, le jeu du hasard étant, dans ce cas, déterminant. Et quand les feuilles ne se perdent pas, la mémoire de l'humanité s'enrichit. Le texte se réfère à des lettres signées par C. Vasiliu Răşcanu, Costachi Mândru, G. G. Ursu, George Cocea, Vasile Damaschin, V. Cerchez, P. Tonitza, Al. Tutoveanu, Emilia Guţianu Alessandrescu.
  • Limba de redactare: română
  • Vezi publicația: Acta Musei Tutovensis: ActaMT
  • Editura: Demiurg
  • Loc publicare: Bârlad
  • Anul publicaţiei: 2010
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: V; anul 2010
  • Paginaţia: 258-261
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