Lucian Blaga: Mitul liric al "Marii treceri"

  • Subiect: L’étude propose une vision herméneutique dont l’essentiel tient à la façon de distinguer entre le mythe le mythique dérivé du mythe et beaucoup plus répandu dans les oeuvres littéraire. Tandis que le vrais mythe implique son sens dans une narration symbolique disponible par sa complexité à des nouvelles interpretations, la poesie lyrique dresse, visiblement, des obstacles devant son orientation eventuelle vers le mythe, sa réceptivité au mythique (atmosphère, diction poétique, suggestion de certain „échos” des mythes) est réele et pas mal de poèmes de Lucien Blaga le prouvent. Mais l’auteur, plus proche du mythe entant que dramaturge, et le createur exemplaire d’une triade des mythes liriques, ceaux du „mystère” et du „grand passage” (le plus important de tous) dont la synthèse élevée et en même temp évanescente est dorul-dor (état d’âme sans object précisé), à la difference du dor érothique: aspiration diffuse vers une autre condition ontologique immortelle, qui reussisse à échapper à la fuite irreversible du temps. Les trois mythes liriques suggérent, sans „raconter” rien, l’enchantement devant les mystères du monde, de l’existence, des l’être intérieur, le dramatisme existentiel de la condition humaine, celle de l’unique être au monde qui ait la connaissance de sa fin, de son glissement vers la mort, du dedans du „grand passage”, universel et éternel, dont il est capable de convertir le „Récit” à une „chant” destiné à célebrer la transmutation „alchimique” d’une souffrance douloureuse en beauté intencément vécue.
  • Limba de redactare: română
  • Vezi publicația: Acta Musei Tutovensis: ActaMT
  • Editura: Demiurg
  • Loc publicare: Bârlad
  • Anul publicaţiei: 2012
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: VII; anul 2012
  • Paginaţia: 160-166
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