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Despre două divorţuri din prima jumătate a secolului al secolului al XVII-lea / Deux divorces de la première moitié du XVII-e siècle

  • Subiect: A la fin du XVI-e siècle et au commencement du suivant les voyageurs étrangers faisaient la remarque que dans les pays roumains le divorce était assez souvent, que les partenaires de vie se séparaient avec beaucoup de légèreté. A peine au milieu du XVII-e siècle les motifs du divorce ont été légiférés – pour le cas qu’un des partenaires était contre le sultan ou contre le prince, ou s’il avait des connaissances avec cette attitude et il n’informait pas son partenaire de vie le divorce se prononçait immédiatement, pour le cas que la femme n’était pas sincères avec son mari, si elle était chicaneuse, querelleuse, si elle allait en visite dans des maisons où il n’y avaient pas des membres de la famille sans la permission du mari, si elle allait au bain avec des étrangers sans la permission du mari, si elle participait a l’accouplement des chevaux sans la permission du partenaire de vie, toutes ces choses constituaient des têtes d’accusation. Mais si le premier motif nous peut rappeler la coutume du moyen age en liaison avec le sermon de vassalité, la mention des femmes dans les clauses de la loi représente plus tôt des arguments concernant la sécurité de l’état. En échange, toutes les autres sont des arguments concernant la fidélité de la femme pour son mari Le divorce était jugé devant le Conseil Princier, en présence du Métropolite du pays et s’il était accepté on prenez la décision si la femme recevait sa dot, et dans le cas qu’elle ne la recevait pas le motif était très grave. Pendant la première moitié du XVII-e siècle les documents mentionnent seulement deux divorces – celui de Lupu grand bouteiller Mehedinţeanu de Marie de Bucov et celui de Basile spatar de Pietroşani de Marie, la fille de Ivaşco grand vornic Băleanu. Le premier cas a été un adultère, Lupu grand bouteiller a découvert que son épouse était infidèle et il a voulu la tuer, mais il a cédé aux prières des boyards et il lui a confisqué toute sa fortune, c'est-à-dire sa dot. Marie de Bucov était descendante d’une ancienne famille de petits boyards de Mărgineni et de la fille du prince Vlad Călugărul (le Moine), de la fin du XV-e siècle. Elle a été encore une fois mariée, et maintenant elle est restée seule avec ces deux filles. Le seul qui la aidé pendant ce temps a été Vintilă grand chancelier qui lui a prêté de l’argent. Après la deuxième décennie du siècle et la trahison du prince par Lupu grand bouteiller, son ex mari, elle a réobtenu sa fortune, mais les avatars ont continué avec le mari de sa fille Frujina, Nedelco, grand bouteiller, qui était d’avis que sa belle-sœur Elina a reçu une dot trop grande. Plusieurs procès ont suivi, perdus par Nedelco. Lupu grand bouteiller s’est remarié, la deuxième fois, et il a eu deux filles. Il s’est soulevé contre le prince Radu Mihnea et il a été tiré en pique par Schinder pacha. Le deuxième divorce nous croyons qu’il a été déterminé par la désir du spatar Basile de Pietroşani de se marié avec la grande dame Ancuţa de quelle il était amouraché, mais il était empêché par son mariage avec Marie, avec la quelle il avait aussi trois filles. Pour cela il a profité de l’époque trouble des années 1630 – 1632, des luttes du prince de la Valachie Léon Vodă avec Mathieu aga de Brâncoveni, il s’est approché du premier et avec des lettres menteuses il a obtenu le divorce par motif que sa femme était chicaneuse et toujours mécontente. Mais, immédiatement après le divorce, le trône du pays a été gagné par Mathieu Basarab, aidé aussi par Ivaşco grand chancelier Băleanu, qui a rejugé la cause, il a donné a Marie 12 grandes dames avec les quelles elle a juré qu’elle n’a pas été fautive envers son mari et il a arrêté que le divorce était reconnu, mais Basile spatar devait restituer a son ancienne épouse toute la dot. Entre temps, le père de Basile spatar était mort laissant des nombreuses dettes, ainsi que le fils a du payer, entre autres et de la dot de l’ancienne épouse, ainsi que la récupération de la fortune de Marie a durée a peu près 20 ans et elle s’est faite de celle de l’ancienne belle-mère, la mère de Basile spatar, Zamfira Rudeano, descendante d’une autre grande famille de boyards. En conclusion, le divorce était permis dans les pays roumains dans certaines conditions, mais les arrêtes étaient extrêmement flexibles et pouvaient être retirées par divers motifs, le plus souvent comme suite du changement du règne et de la position des parts envers le prince.
  • Limba de redactare: română
  • Vezi publicația: Muzeul Naţional
  • Anul publicaţiei: 2006
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: XVIII; anul 2006
  • Paginaţia: 33-44
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