Geneza Comisiei Naţionale de Arheologie / La genèse de la Commission Nationale D’Archéologie

  • Subiect: Ayant comme base les débats européens de la fin du XIXème siècle – du sort du patrimoine archéologique en liaison avec l’industrialisation et les effets de celle- ci, aussi en Roumanie a eu lieu un premier essaie de coagulation professionnelle des archéologues. En première rangée se sont situé les pionniers de l’archéologie, conduits par Alexandre Odobesco, et représenté par le Comité Archéologique Roumain. Ni les conditions, ni le nombre et la force de cette génération d’archéologues n’ont été favorable pour l’affirmation de la science qu’ils servaient, ainsi que l’organisme de représentation a échoué. Une individualisation plus clairement affirmée appartient aux archéologues formés à l’école de Basile Pârvan. Ses élèves et ses disciples on fondé, en 1935, le Collège Archéologique Roumain (C.A.R.), organisme inspiré de l’expérience européenne, contenant des spécialistes de large réputation et reconnaissance professionnelle. En petit nombre, les archéologues de l’époque avaient une formation scientifique surtout italienne. Ici, en Italie, à l’Ecole Roumaine de Rome - et quelques autres dans des centres importants d’Allemagne et de France - ont fait leur spécialisations les plus importants archéologues roumains. Les expériences obtenues autant en ce qui concerne la technique des fouilles, qu’en ce qui concerne la conservation et la restauration des vestiges, comme d’ailleurs aussi la connaissance des musées italiens d’antiquités ont constitué des modèles pour cette génération. Le Collège Archéologique Roumain s’est proposé a promouvoir et de sauvegarder les intérêts professionnels militant pour une législation spéciale, pour le financement des fouilles archéologiques et la conservation, pour le développement des musées d’antiquités. Une partie des thèmes débattus sont présentés dans l’article. Représentant les intérêts professionnels C.A.R. a eu une importante contribution en ce qui concerne la formation universitaire des jeunes archéologues, l’orientation thématique des fouilles et, de même, a la consolidation de la conscience de groupe. Par l’intermède du C.A.R. on a préparé le fondement des recherches systématiques, la projection des stratégies des fouilles et de conservation, a la dissémination dans des larges cercles des connaissances et du lieu de l’archéologie dans la société. C.A.R. a donné le signal et il a assuré l’organisation supérieure de la recherche archéologique dans la Roumanie d’après la guerre, ayant une forte contribution concernant l’argumentation de l’importance scientifique, sociale et économique de cette science génératrice d’exceptionnels témoignages historiques.
  • Limba de redactare: română
  • Vezi publicația: Muzeul Naţional
  • Anul publicaţiei: 2007
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: XIX; anul 2007
  • Paginaţia: 343-348
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