Ioan Moţa. Tabloul interzis al unui naţionalist ardelean (II)

  • Subiect: Ioan Moţa, prêtre et journaliste, restera fidele à sa conviction nationaliste après 1918. Il continuera lutter dans les pages de ses gazettes pour le bien et la prospérité du peuple roumain. Mecontent de la politique des cercles dirigeants, Ioan Moţa s'abandonnera aux opinions extrémistes de droite, et il arrivera soutenir le mouvement légionnaire, dont le fondateur, parmi les autres, était aussi son fils, Ioan I. Moţa. Le vieux prêtre sera élu député et sénateur plusieurs fois, représentant dans la Parlement les électeurs du district Hunedoara. "La Liberté", son journal, a resté le représentant de "la presse populaire" qui s'adressait au village, en particulier, exceptant les dernières années. Ioan Moţa est devenu l'archiprêtre d’Orăştie, et il réussira accomplir un ancien projet (en 1902), concernant la construction d'une grande église au sein de la ville. Il mourra en novembre 1940, avec la tristesse dans son âme parce que la Roumanie a été mutilée par le Diktat de Vienne, et la Transylvanie saignait.
  • Limba de redactare: română, franceză
  • Secţiunea: Studii şi articole
  • Vezi publicația: Sargetia. Acta Musei Devensis
  • Editura: Polidava
  • Loc publicare: Deva
  • Anul publicaţiei: 1997-1998
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: XXVII-2; anul 1997-1998; subtitlu: Acta Musei Devensis
  • Paginaţia: 291-316
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