Câteva consideraţii privind activitatea României la Societatea Naţiunilor în problema protecţiei minorităţilor etnice

  • Subiect: Pour éviter les potentielles crises nationales et internationales, les Puissances Alliées et Associées ont subordonné la reconnaissance de la souveraineté des nouveaux Etats émergeants après la première guerre mondiale, d`un traité spéciale, mis sous la supervision de la Société des Nations, parmi lequel on respectera le droit d’existence et le développement des minorités ethniques d`entre leurs frontières. Les stipulations en faveur des minorités incluses dans les traités de paix ou dans des accords spéciaux doit être considéré, de l’avis de certains auteurs, comme l`un des résultats les plus heureux de la Conférence de la Paix. Parmi les États qui avaient à se soumettre à ces obligations internationales ont été, tout d’abord, les nouveaux États, ou ceux qui ont considérablement augmenté leurs territoires, tout particuliers tels que la Pologne, Tchécoslovaquie, Yougoslavie, Roumanie et Grèce, ainsi que par un certain nombre d’anciens opposants de la Triple Entente: Autriche, Bulgarie, Hongrie et Turquie. Dans cette étude, l’auteur présente certains aspects relatifs à la nécessité, la genèse et les conséquences du Traité pour la protection des minorités nationales, signé aussi par l’État roumain, qui était, en fait, le statut juridique international des minorités ethniques de la Roumanie pendant l’époque d’entre les deux guerres mondiales.
  • Limba de redactare: română, franceză
  • Secţiunea: Istorie. Studii şi articole
  • Vezi publicația: Sargetia. Acta Musei Devensis
  • Editura: Colofon Print
  • Loc publicare: Deva
  • Anul publicaţiei: 2014
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: V; anul 2014; subtitlu: Acta Musei Devensis; seria nouă
  • Paginaţia: 319-339
  • Navigare în nr. revistă:  |<  <  27 / 47   >  >|