Contribuţii la istoria învăţămîntului elementar românesc din judeţul Hunedoara (1780-1848)

  • Subiect: De son début, le mouvement d'émancipation nationale, inscrit dans son programme la fondation de ses écoles, de tous les degrés, comme une condition indispensable de l'émancipation. Par l'enseignement élémentaire on suivait la réalisation de la base culturelle, de soulever le peuple roumain à la lutte dans l'esprit de la conscience de son identité. Jusqu'à l'année 1780 fonctionnaient des écoles à Hunedoara, Orăştie, Haţeg, Prislop, Plosca, Vaca et Vaidei. En commencement avec la décennie IVème du siècle il a été décidé comme dans l'Autriche tant les écoles uniates, aussi comme les écoles orthodoxes s'entrent sous la juridiction de l'état. Dans la décennie 1780-1790 a la suite des insistances de Gheorghe Şincai et Ioan Molnar-Piuariu ont été fondé de nouvelles écoles pour les uniates et pour les orthodoxes roumains. Les instituteurs pour les écoles orthodoxes étaient préparés à l'école des instituteurs de Sibiu. La fondation des écoles roumaines rencontre une puissante résistance de la part de l'aristocratie. La révocation des reformes de Joseph IIème, dans l'année 1790 et l'inauguration de la période des restitutions de l'aristocratie a porté un rude coup. Dans l'année 1793 la députation ecclésiastique de la Diète de Transylvanie soutenait l'inutilité de la fondation des écoles des villages roumains, en recommandant la fréquentation par les roumains des écoles des autres nations, pour enseigner la langue de ces nations. Au conformément du calendrier du 1807, l'enseignement roumain orthodoxe avait 131 des écoles des villages, parmi lesquels, quatre écoles fonctionnaient à Brad, Deva, Leşnic et Orăştie. Dans l'année 1843 les 1.310.822 roumains uniates et orthodoxes avaient 596 écoles dont 310 uniates et 286 orthodoxes, lorsque les 776.603 catholiques et protestants avaient 1352 écoles. Au 16 mars 1842 la Diète de Transylvanie présentait à la cour de Vienne le projet de loi qui prévoyait comme la langue officielle de la Transylvanie la langue hongroise. "Nous témoignons sincèrement, mais non après 10 siècles, même jamais, nous et notre nation ne pouvons pas être obligés par une loi qui pour nos habitudes et pour notre foi, prépara un péril et un obstacle, et pour notre nationalité, ruine et tuerie", on dit dans le proteste de Consistoriu de Blaj, rédigé par Timotei Cipariu. La révolution des roumains de 1848 trouvait ouverte les problèmes des écoles roumains. L'insertion dans le Programme de Blaj, de la cause des écoles roumains de toutes les degrés, constitue la preuve de l'importance qui on accordait à l'éducation du peuple dans l'esprit des objectifs nationaux, dans mentalité de ceux qui ont préparé et accomplis la révolution roumaine.
  • Limba de redactare: română, franceză
  • Secţiunea: Studii şi articole
  • Vezi publicația: Sargetia. Acta Musei Devensis
  • Editura: Polidava
  • Loc publicare: Deva
  • Anul publicaţiei: 1988-1991
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: XXI-XXIV; anul 1988-1991; subtitlu: Acta Musei Devensis
  • Paginaţia: 207-232
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