Traducerea din limba latină

  • Subiect: La traduction en langue maternelle comme méthode d'enseignement du latin dans les écoles a une tradition relativement courte. Pour le moyen âge, durant lequel l'écolier écrivait et parlait latin, le problème ne se posait pas. Durant la Renaissance l'imitation de l'élégance du style des auteurs latins représentait le but suprême. La Réforme et les courants qui en dérivent, tout en soutenant l'enseignement en langue maternelle, considère, de par son exclusivisme religieux, l'étude des classiques latins dangereuse pour l'édification spirituelle des élèves et pratique leur traduction avec réserve (v. Comenius, Didactica Magna, cap. XXV). C'est à peine à l'époque de l'Illuminisme que Ch. Rollin dans son Traité des études pose la traduction des auteurs latins au premier plan. L'initiative était plutôt théorique ; les anciennes méthodes (imitation en vers et en prose, sujet, etc.) maintiennent leur rôle traditionnel jusqu'à la fin du XIXe siècle, quand le latin cesse à peu près complètement d'être parlé et écrit et l'accent tombe sur les lectures expliquées et les traductions littéraires. La valeur de la traduction est appréciée d'après les phases qu'elle parcourt pour sa réalisation: déchiffrement grammatical du texte, explication littéraire et historique, transposition en langue maternelle. L'auteur analyse chaque étape d'élaboration et souligne la valeur des traductions pour la formation intellectuelle des hommes.
  • Limba de redactare: română, franceză
  • Secţiunea: Note şi discuţii
  • Vezi publicația: Studii Clasice: StCl
  • Editura: Editura Academiei R.P.R.
  • Loc publicare: Bucureşti
  • Anul publicaţiei: 1964
  • Referinţă bibliografică pentru nr. revistă: anul 1964
  • Paginaţia: 261-271
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